On va aborder quels sont les traitements de la cataracte traumatique.
Si la plaie de la cristalloïde est large, la cataracte s’installe dès les premières heures, totale, mais les désordres traumatiques de la cornée et de l’iris, accompagnés d’hémorragie dans la chambre antérieure, gênant l’observation.
Après quelques jours seulement on peut voir, à travers la brèches capsulaire, les masses se déverses dans la chambre antérieure.
Parfois même, si la cristalloïde postérieure a été ouverte, on peut observer, au milieu des masses, la hernie du vitré dont les globes saillants enferment un peu de sans.
Une réaction ciliaire vive, en partie due à l’infection, accompagne alors la cataracte traumatique.
Si la plaie est limitée, la cataracte peut demeurer elle-même limitée localisée au voisinage de la plaie.
La brèche capsulaire se cicatrice à la faveur de l’exsudation fibrineuse qui vient l’obturer et dans laquelle viennent proliférer les cellules de l’épithélium antérieur du cristallin.
Dans d’autres cas, le processus s’arrête parce que l’iris, appliqué au devant de la plaie capsule, pendant quelque temps temps, aboutissant à une cataracte incomplète.
Le traitement
Le traitement de la cataracte traumatique se confond au début avec celui des plaies pénétrantes du globe oculaire.
Elle commande par elle-même la dilatation atrophique de la papille. Celui-ci éloigne l’iris de la brèche cristallinienne, favorise la pénétration de l’humeur aqueuse et hâte la fonte et la résorption des masses.
Il n’y a qu’à attendre, à compter sur la résorption spontanée totale. L’instillation d’atropine doit être poursuivre tant que dure la fonte, mais il peut arriver que l’encombrement de la chambre antérieure par les masses entraîne l’hypertension.
Il convient donc de suspendre immédiatement les instillations d’atropine si les manifestation glaucomateuses apparaissent.
Celles-ci peuvent être d’ailleurs l’indication d’intervenir, sans trop tarder. S’il s’agit d’un enfant, l’anesthésie générale est indispensable.
Hernie de l’iris et iridectomie
Une simple incision à la pique entraîne la précipitation des masses. S’il se fait une hernie de l’iris, il vaut mieux faire l’iridectomie.
S’il s’agit d’un adulte, sous le couvert d’une bonne anesthésie rétrobulbaire, on pratique systématiquement l’iridectomie et l’on s’attache à l’expulsion des masse et du noyau.
En dehors de ces complication, il n’y a pas à intervenir. Il vaut mieux atteindre longtemps avant d’envisager une intervention.
La présence d’un corps étranger dans le cristallin ne change rien au processus initial de la cataracte traumatique, si ce n’est qu’elle expose au risque d’infection le tissu cristallinien particulièrement fragile ?
Elle peut, dans d’autres cas, imposer des indications thérapeutiques particulières et inviter à une extraction ou à une aspiration précoce des masses.
sans le savoir je suis atteint d1 cataracte traumatic depuis 2014 .Au debut quand je sentais venir la maladie lophtal,ologue soigner une infection le temps passe et pas damelioration:chez un autre ophtalmologue on me parle de glaucome en Juin 2015 /On me prescrit des ordonnances dans ce sens mais le mal persiste:! ce n*est que le 7Janvier 2017 qu1 autre médecin ophtalmologue me diagnostiqua et me parle de cataracte traumatique:il m^a prescrit des ordonnances et des RV tous les 15 JOURS